La communication obligatoire des soupçons par les intermédiaires financiers est devenue un fondement essentiel de la lutte anti-blanchiment.  Peu importe que la dénonciation de comportements suspects par des particuliers soit un corps étranger dans nos ordres juridiques.

Il nous a donc semblé intéressant de recueillir dans un seul fichier ci-joint (MROS-rapports annuels 2008-2017) les statistiques publiées chaque année par le MROS dans ses rapports annuels au sujet du sort réservé aux communications effectuées par les intermédiaires financiers.

Peut-être qu'un jour quelqu'un regardera finalement cette gigantesque usine à gaz avec un peu d'esprit critique et se demandera si les efforts de l'exercice et les coûts qui y sont liés (consentis par le secteur privé) justifient les résultats obtenus.

Amen.